C’est la première fausse note de la Coupe du Monde féminine qui se déroule au Canada. Des micros caméras ont été trouvées dans plusieurs stades qui accueillent la compétition. Une enquête a été ouverte par la FIFA et les autorités canadiennes.

L’information a été confirmée par la FIFA qui s’est cependant refusée à tout commentaire. Le chef de la police de Montréal Taber Nak tient à punir sévèrement le ou les coupables :

« Peu de personnes ont accès aux vestiaires, et avec les caméras de surveillance des stades, l’enquête ne devrait pas être bien longue. Nous pourrons ainsi punir sévèrement ce voyeur. Nous sommes en 2015 et pas au Moyen Age, la femme est l’égale de l’homme. En aucun cas elle doit être traitée comme un objet. Nous avons récupéré l’ensemble des vidéos filmées par les micros caméras. Nous allons devoir les visionner afin de voir si nous ne trouvons pas d’indices. »

Des policiers suspectés

D’après les premiers éléments de l’enquête, la piste la plus probable mène à des policiers. Le mouvement féministe français Ni pute Ni soumise a demandé une sanction exemplaire pour les coupables. Taber Nak se veut de son côté prudent :

« Effectivement les indices désignent des hauts fonctionnaires de police. Cependant, il faut respecter la présomption d’innocence. Et puis vous savez, être filmé nu n’a jamais tué quelqu’un. Les femmes sont des coquines dans l’âme, qu’elles ne fassent pas les choquées les Mi putes Mi soumises. »