Cette mission sauvetage ne fait pas peur à celui qui a été joueur dans les années 30 au sein de prestigieux clubs, tels la BE Amsterdam, la SO6 Francfort ou encore la Betis Cambrai et le HAM Bayonne :

« J’ai entendu les attentes de mes dirigeants, ils correspondent à mes compétences. J’ai aussi appelé Jean-Marc Furlan pour lui souhaiter bonne chance pour la suite mais surtout pour lui demander des détails sur ses joueurs. Il a beaucoup pleuré, mais j’ai quand même réussi à obtenir quelques infos intéressantes, notamment sur un jeune U10 au fort potentiel [il parle de Corentin Jean, ndlr]. J’ai hâte de retrouver les terrains européens après ma dernière expérience exotique au NEM de Hanoï. »

Olivier Guégan : « Je redoute beaucoup Hand Ouyette de Troyes »

Le technicien néerlandais débutera sa mission sur les prés de la Ligue 1 dès ce samedi à Reims, face aux voisins du Stade. Un premier derby qui met déjà la pression sur Hand Ouyette :

« A A A A A H, oui c’est un beau match pour débuter mon expérience ici à Troyes : un derby, ça se gagne, et nous allons le gagner ! »

Du côté du voisin champenois, Olivier Guégan ne voit pas d’un œil la réception de l’ESTAC et de son nouvel entraîneur, qu’il connait bien pour avoir épousé sa fille :

« Je le connais bien, c’est mon beau-père : il est terrifiant. Ses joueurs vont être surpris : au premier abord, les techniques de Hand Ouyette sont puantes, mais une fois découpées en morceaux pour les analyser, elles sont très bonnes ! Clairement, je redoute beaucoup Hand Ouyette de Troyes ! »

Pour l’accompagner sur le banc de l’ESTAC, Hand Ouyette a fait appel à son assistant de toujours, l’ancien international allemand Hans Liegdeu.