Et si… l’équipe-surprise de la seconde partie de saison de la Ligue 1 Conforama se trouvait être les Girondins de Bordeaux ? L’équipe entraînée par Paulo Sousa, actuellement classée 13è du championnat de France avec 26 points, ne se trouve finalement qu’à sept petites longueurs de la troisième place occupée à date par le Stade Rennais. Et avec la 5ème attaque à mi-parcours, les Girondins peuvent espérer faire un coup d’ici le mois de mai, ce grâce à l’arrivée du milieu de terrain de 19 ans Yves Van Duchitt :

« Sans cette satanée série en cours de quatre défaites de rang, on serait en lutte pour la troisième place. On a manqué de solidité et de fluidité, notamment contre l’OL et l’OM, deux matchs où l’on menait au score… Avec l’arrivée de Yves Van Duchitt, on va gagner en sérénité, il saura poser le jeu pour nous aider à sauver ces buts d’avance trop bêtement gâchés. »

Yves Van Duchitt, le foot, le vin et le yoga

Du haut de ses 19 ans, Yves Van Duchitt est considéré comme l’une des prochaines pépites néerlandaises, au même niveau qu’un Frenkie de Jong, parti l’été dernier de l’Ajax rejoindre le FC Barcelone. Alors pourquoi signer à Bordeaux alors que des top clubs comme Manchester City ou encore le Bayern Munich vous souhaite ? Le joueur répond à cette interrogations sans détour :

« Il n’y a pas que le football dans la vie. Je suis personnellement un grand amateur de vin, et aller vivre dans le bordelais était un réel souhait de ma part. En fait, pour tout vous dire, si j’avais eu le choix, j’aurais privilégié Dijon, le vin de la Côte de Beaunes ayant ma préférence. Mais bon… Et concernant les top clubs dont vous me parlez, à ma connaissance aucun vignoble n’est à signaler du côté de Manchester et de Munich… »

Également, le joueur international U20 avec les Oranje possède cette particularité d’être passé maître dans le yoga :

« Je suis diplômé de yoga, je suis quelqu’un de zen dans la vraie vie, j’évite de stresser pour rien. Déjà à Amsterdam, j’essayais avec le brassard le capitaine d’être en quelque sorte le dealer de bonne humeur. J’espère réussir à propager ces bonnes ondes, ce fumet de zenitude, à mes nouveaux coéquipiers bordelais. »